Culte de Mercure

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Le Culte de Mercure est une organisation fictive de magiciens qui précède l’Ordre d’Hermès.

L’Ancien Culte

Dans les temps anciens, le Culte de Mercure était une organisation mystique qui servait la République puis l’Empire romains païens. L’Ordre d’Hermès se considère lui-même comme un continuateur de la tradition mystique (mais pas religieuse) de ce culte, le Culte moderne étant une tentative de relance religieuse et magique plus accomplie — tandis que les dieux païens sont vus comme des principes anthropomorphisés de la Nature et des daimons.

L’ancien Culte de Mercure s’est effondré à peu près à la même période que le fit l’Empire romain d’Occident (Ve siècle apr. J.C.).

En Europe mythique, certains savants de l’Histoire de la Magie pensent que le Culte de Mercure remonterait même aux cultes antérieurs de la Grèce et de la Perse classiques.

Magie de l’ancien Culte

L’ancien Culte de Mercure s’appuyait uniquement sur ce que la Magie hermétique appèlerait la Magie rituelle. Il a eu pour innovation que sa magie puisse être facilement enregistrée sous forme écrite, ce qui explique peut-être pourquoi tant des Fondateurs pratiquaient une magie dérivée de celle de l’ancien Culte.

Le Culte moderne

Dans l’Ordre d’Hermès moderne (c’est-à-dire, au XIIIe siècle), le Culte de Mercure est une Societas fondée par Priamitus de la Maison Mercere et dirigée par des Mages Mercere servant comme grands prêtres de Mercure/Hermès. Nombre d’entre eux sont des résidents de la Maison Flambeau, selon Houses of Hermes: Societates [1].

Les prêtres de Mercure (flamines, singulier flamen) sont souvent respectés dans la Société hermétique, parce que rien ne vaut la tradition, et effectuent diverses tâches cérémonielles.

Dans les précédentes Éditions

L’aventure pour la Seconde Édition, The Tempest [2] décrit le Culte de Mercure en détails, principalement dans son introduction. Elle clame que Bonisagus le Fondateur était à l’origine un membre du Culte de Mercure et que sa création de la Magie hermétique était principalement une fusion entre la Magie mercurienne et la Magie druidique préservée par la Maison Diedne.


Références

  1. Traduit en français sous le titre « Les Maisons d’Hermès : Societates »
  2. Traduit en français sous le titre « La Tempête »
  3. Traduit en français sous le titre « Les Maisons d’Hermès : Les Vraies Lignées »